Vous allez découvrir ou redécouvrir l’œuvre de l’artiste peintre «Jeanne Michèle Hugues» Votre lecture de ces pages web vous amènera à percevoir les multiples talents de l ‘artiste, Vous découvrirez une personalité affirmée. Vous admirerez un style moderne très sûr et indépendant des modes. Avant d’entrer dans le site, je vous propose de regarder une courte vidéo extraite du film «Jeanne Michèle Hugues» réalisé par : Jean Desvilles-Production Moriciere Vidéo. (https://artetresonances.fr/)
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« Respecter à la fois l’Art et le Public ;   Refuser de s’aligner sur une mode quelconque, de consentir à des procédés raccrocheurs ;   Rester aussi éloignée des facilités mievres ou complaisantes, que des brutales agressions visuelles.   A notre époque, cela peut passer pour une attitude singulière c’est pourtant une gageure que j’ai toujours tenu à relever avec une persévérante sérénité »
ENTRE RÊVES ET RéALITé
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L’association Jeanne-Michèle Hugues A l’initiative du projet de création de cette association, nous trouvons Hélène Béjui- Hugues la fille de Jeanne-Michèle, Son désir le plus cher était de faire connaitre au plus grand nombre l’œuvre artistique de sa mère. Un des moyens d’y parvenir, c’est déjà ce site internet qui vous permettra de découvrir, au fil du temps, une partie de l’œuvre de Jeanne-Michèle Hugues. En effet la production artistique est importante, et la recherche des œuvres à travers le monde représente une tâche difficile et longue. Chaque œuvre sera placée, tant que faire se peut, dans son contexte sociétal et artistique. En plus de l’œuvre de l’artiste, le site internet présentera la femme dans ses activités publiques et pour partie dans sa vie privée. L’association, avec l’aide des adhérents et des membres bienfaiteurs, espère pouvoir organiser une, voire plusieurs expositions mettant en avant Jeanne-Michèle Hugues. Si vous êtes désireux d’apporter votre pierre à l’édifice vous pouvez nous rejoindre ! Pour cela vous trouverez votre bulletin d’inscription en suivant ce lien N’hésitez pas à nous poser vos questions en utilisant le mail : jeannemichele.hugues@orange.fr Le comité d’authentification En cours de constitution, le comité composé d’au moins trois membres, dont l’héritière détentrice des droits de l’œuvre de jeanne Michèle Hugues, aura pour principale mission de vérifier l’authenticité des pièces de JM Hugues qui lui sont soumises (peintures, dessins, gravures, lithographies, objets d’art décoratif) et de délivrer des certificats d’authenticité ainsi que de procéder à la désignation des oeuvres pouvant être exposées. Composition du Conseil d’Administration Hélène Béjui-Hugues : Présidente ; Marie Noëlle Pellereau : Vice Présidente ; Jacques Béjui-Hugues : Secrétaire général ; Dominique Pellereau : Trésorier.
© les amis de Jeanne Michèle Hugues / Ref sources. Made with XARA
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Jeanne-Michèle Hugues A l’initiative du projet de création de cette association, nous trouvons Hélène Bejui- Hugues la fille de Jeanne-Michèle, Son désir le plus cher était de fairefaire connaitre au plus grand nombre l’œuvre artistique de sa mère. Un des moyens d’y parvenir, c’est déjà ce site internet qui vous permettra de découvrir, au fil du temps, une partie de l’œuvre de Jeanne- Michèle Hugues. En effet la production artistique est importante, et la recherche des œuvres à travers le monde représente une tâche difficile et longue. Chaque œuvre sera placée, tant que faire se peut, dans son contexte sociétal et artistique. En plus de l’œuvre de l’artiste, le site internet présentera la femme dans ses activités publiques et pour partie dans sa vie privé. L’association, avec l’aide des adhérents et des membres bienfaiteurs, espère pouvoir organiser une , voire plusieurs expositions mettant en avant Jeanne-Michèle Hugues. Si vous êtes désireux d’apporter votre pierre à l’édifice vous pouvez nous rejoindre ! Pour cela vous trouverez votre bulletin d’inscription en suivant ce lien N’hésitez pas a nous poser vos questions en utilisant le mail : jeannemichele.hugues@orange.fr Le comité d’authentification En cours de constitution, le comité composé d’au moins trois membres, dont l’héritière détentrice des droits de l’œuvre de jeanne Michèle Hugues, aura pour principale mission de vérifier l’authenticité des pièces de JM Hugues qui lui sont soumises (peintures, dessins, gravures, lithographies, objets d’art décoratif) et de délivrer des certificats d’authenticité ainsi que de procéder à la désignation des œuvres pouvant être exposées. Composition du Conseil d’Administration Hélène Bejui-Hugues : Présidente ; Marie Noëlle Pellereau : Vice Présidente ; Jacques Béjui-Hugues: Secrétaire général ; Dominique Pellereau : Trésorier
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Cette bibliographie est extraite d’un texte écrit par Robert Migues , alias de Michel Hugues , mari de Jeanne Michèle Hugues. Ce texte est paru dans le livre «J.M. Hugues dans la Collection «Terre des Peintres» qui retrace son parcours d’artiste. Jeanne Michèle Hugues, fille d’un journaliste parlementaire, Jean Prudhommaux est née à Paris en 1920 dans le quartier latin, noyau actif d’une vie intellectuelle propre aux combats d’idées. C’est au milieu de ce bouillonnement collant à l’actualité que Jeanne Michèle a grandi. Attirée par les arts, elle réussit le concours d’entrée en 1938 à l’Ecole Nationale Supérieur des Arts Décoratifs. En 1940, c’est le départ avec ses parents dans le midi à Nîmes à cause de la guerre (1939- 1945). Retour seule à Paris pendant la guerre, pour reprendre ses études aux Arts Déco comme étudiante « légère et un peu futile » comme dit son père. Mais, en fait, elle participe à la résistance en subtilisant les tampons officiels dans les Mairies pour confectionner des faux papiers. Son nom de code dans la résistance est Michèle Bussy. C’est dans ce cadre qu’elle rencontre son futur mari, Michel Hugues, engagé lui aussi dans la résistance. Pour vivre, elle fait des croquis pour les grands couturiers et elle monte aussi sur les planches de théâtre avec Alain Cuny. Après la libération, Jeanne Prudhommeaux (son nom d’état civil) se marie à Toulouse et devint Jeanne-Michèle Hugues. Le couple s’installe à Toulouse où Jeanne-Michèle exerce son métier d’artiste indépendamment de sa vie familiale. En 1948 , elle rentre en famille à Paris son style d’artiste affirmé, à la frontière de l’abstrait et du figuratif est remarqué ; elle emprunte au premier le jeu de ses matières et garde du second le prétexte de l‘objet ou du paysage qu’elle transforme pour le restituer en une forme harmonieuse : son talent s’impose alors. C’est ainsi qu’à partir des années cinquante, alors que quelques galéristes (André Terrisse, Marcel Bernstein par exemple) misent sur les jeunes talents, elle présente ses oeuvres. Elle est ainsi repérée par Madge Tivey- Faucon et expose dans la galerie de la rue de Penthièvre, galerie multifacettes ouverte aux nouvelles tendances de l’après-guerre. Jeanne-Michèle y rencontre Robert Yan peintre officiel de la Marine et Président du Salon   des   Indépendants (exposition d'art qui se tient chaque année à Paris depuis 1884, et qui a pour vocation de réunir les œuvres de tous les artistes revendiquant une certaine indépendance dans leur art). Rencontre un peu particulière car Robert Yan est un misogyne ancré qui malgré cela fut attiré par les œuvres originales de Jeanne-Michèle et lui proposa d’entrer au Salon des Indépendants. Après cette première exposition au Grand Palais, Robert Yan la fait élire au CA de l’Association du Salon des Indépendants elle en devint la première femme Vice-Présidente, chargée de développer l’impact du salon auprès du public, Jeanne-Michèle ayant montré, en plus de ses qualités d’artiste, celle d’être une organisatrice hors pair. Sa première réalisation démontra sa détermination : elle réussit à réunir un ensemble d’œuvres de femmes intitulé « Les artistes femmes, du 14ème siècle à nos jours » ; l’exposition fit date. 1956 Première exposition de jeanne-Michèle Hugues au Salon d’Automne à Paris 1960-61 : elle adhère aux associations France-Tchécoslovaquie et France-Hongrie ce qui lui permettait de nouer des relations avec d’autres artistes pour les faire exposer en France, à une époque où les pays de l’Europe de l’Est étaient peu ouverts vers l’extérieur. 1962 Découverte du Moyen-Orient, l’Ambassade de France au Liban lui ayant demandé d’exposer au Cercle des Français à Beyrouth. Elle en rapporta une multitude de croquis qui se transformeront plus tard en autant de toiles. Par la suite, et bravant le « politiquement correct» de la politique Francaise au Proche Orient, elle réussit à faire venir les artistes Egyptiens et Israéliens à deux ans d’intervalle au Salon des Indépendants. Cette initiative lui valut lettres d’injures et de menaces, mais le Ministre de la Culture de l’époque, Michel Guy, lui apporta sa caution en particulier par sa présence lors des salons. 1967 Le Ministre de la Culture André Malraux fut à l’origine de la création du « Comité de liaisons des Associations d’Art Graphique et Plastique auprès du Ministère de la Culture et de la ville de Paris» qui voulait avoir un interlocuteur vis à vis des multiples salons organisés à Paris. Ce comité était composé d’Edouard Mac’Avoy pour le Salon d’Automne , André Cheyssial pour les Artistes Francais et Robert Yan pour les Indépendants. Jeanne-Michèle Hugues fut nommée Secrétaire Générale du Comité, organisatrice avérée mais aussi conciliatrice des contraires. Elle connut en tant que Secrétaire Générale du Comité (qui devint Fédération) 11 ministres de la culture et autres hauts responsables. Sans aucune lassitude, elles expliquait avec conviction les difficultés matérielles des artistes. Mais en 1976, Robert Yan quitte le Salon des Indépendants ; pour Jeanne Michèle, l’ambiance change. C’est alors qu’elle fût approchée par Mac’Avoy (80 ans à l’époque) Président du salon d’Automne pour lui demander de venir l’aider. 1976 L’académie de Neuilly sur Seine, institution très fermée, lui offre à l’unanimité la place de Directeur laissée vacante par Saint Granier. Elle contribue à promouvoir les arts plastiques en organisant des expositions annuelles chaque exposant de l’académie parraine un jeune artiste lui permettant ainsi d’être exposé. 1977 Au Salon d’Automne, Jeanne-Michèle y devint rapidement sociétaire, membre du CA puis en fut élue Vice-Présidente en 1983 alors que parallèlement elle devint en 1980 , membre du comité français de l’Association Internationale d’Arts Plastique de l’UNESCO. L’une de ses plus belles réussites sera d’avoir réussi à faire changer les choses entre les différents utilisateurs du Grand Palais, à en mutualiser les expositions, comme par exemple avec la FIAC ou le Salon du Livre, ce qui permit de rentabiliser la gestion de ce batiment et de permettre à de petites associations d’en profiter aussi. Le ministère de la culture s’en félicita. 1991 Elle accepte le poste de Président du Salon d’Automne dont elle devint la première femme à la tête d’un tel Salon. aussi, Jeanne-Michèle va marquer son passage en faisant changer les habitudes de travail du CA. Le Salon est devenu un lieu vivant les artistes se retrouvaient avec plaisir, chaque membre du CA participera aux échanges internationaux artistiques, dans la continuité de ses engagements passés dans les associations artistiques de l’Europe de l’Est dans les années 60. Elle parvint à obtenir de l’Ambassade de Chine un ensemble très remarquable d’œuvres chinoises. Une nouvelle dynamique avec de nouveaux et jeunes talents. Mais en 1993, le Grand Palais ferme pour cause de travaux pour 10 ans. Aprés d’âpres discussions le Ministère de la Culture met à disposition quatre tentes en location, Quai Branly sur un espace prêté par le Ministère des Affaires Etrangères. L’inauguration est faite en 1994, en présence du Ministre de la Culture Jacques Toubon. 1995 Jeanne Michèle Hugues démissionne de la Fédération du fait de difficultés internes causées par de nouvelles contraintes financières. Ce qui retentit aussi au sein du Salon d’Automne et, du fait du désacord dans le CA, elle finit par quitter la Présidence pour passer la main à un jeune élément qui écrirait la suite de l’histoire : ce fût Jean-François Larrieu, qu’elle avait connu à l’Académie de Neuilly. Elle fût élue Président d’Honneur du Salon d’automne, en reconnaissance de l’activité qu’elle y avait déployée. Elle se retira ensuite dans son atelier pour y retrouver la joie de peindre pour elle-même débarrassée de bien des soucis, mais toujours suivie de près par les amateurs collectionneurs. La reconnaissance vint aussi de la ville de Paris qui lui octroya la Médaille de Vermeil. L’Etat ne fût pas en reste puisque qu’elle fût élevée au grade de Chevalier puis d’officier dans l’Ordre de la légion d’Honneur et aussi Chevalier puis Officier dans l’Ordre National du mérite. Malheureusement gravement blessée au membre supérieur droit en 1997, elle dut ralentir encore son activité mais garda cependant une belle dextérité pour manier couteau et pinceau, jusqu’à son décès en 2004 .
Beyrouth Portrait de Jeanne Michéle Portrait de Jeanne Michéle
Beyrouth capitale du Liban
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Cette bibliographie est extraite d’un texte écrit par Robert Migues , alias de Michel Hugues , mari de Jeanne Michèle Hugues. Ce texte est paru dans le livre «J.M. Hugues dans la Collection «Terre des Peintres» qui retrace son parcours d’artiste. Jeanne Michèle Hugues, fille d’un journaliste parlementaire, Jean Prudhommaux est née à Paris en 1920 dans le quartier latin, noyau actif d’une vie intellectuelle propre aux combats d’idées. C’est au milieu de ce bouillonnement collant à l’actualité que Jeanne Michèle a grandi. Attirée par les arts, elle réussit le concours d’entrée en 1938 à l’Ecole Nationale Supérieur des Arts Décoratifs. En 1940, c’est le départ avec ses parents dans le midi à Nîmes à cause de la guerre (1939-1945). Retour seule à Paris pendant la guerre, pour reprendre ses études aux Arts Déco comme étudiante « légère et un peu futile » comme dit son père. Mais, en fait, elle participe à la résistance en subtilisant les tampons officiels dans les Mairies pour confectionner des faux papiers. Son nom de code dans la résistance est Michèle Bussy. C’est dans ce cadre qu’elle rencontre son futur mari, Michel Hugues, engagé lui aussi dans la résistance. Pour vivre, elle fait des croquis pour les grands couturiers et elle monte aussi sur les planches de théâtre avec Alain Cuny. Après la libération, Jeanne Prudhommeaux (son nom d’état civil) se marie à Toulouse et devint Jeanne-Michèle Hugues. Le couple s’installe à Toulouse où Jeanne-Michèle exerce son métier d’artiste indépendamment de sa vie familiale. En 1948 , elle rentre en famille à Paris son style d’artiste affirmé, à la frontière de l’abstrait et du figuratif est remarqué ; elle emprunte au premier le jeu de ses matières et garde du second le prétexte de l‘objet ou du paysage qu’elle transforme pour le restituer en une forme harmonieuse : son talent s’impose alors. C’est ainsi qu’à partir des années cinquante, alors que quelques galéristes (André Terrisse, Marcel Bernstein par exemple) misent sur les jeunes talents, elle présente ses oeuvres. Elle est ainsi repérée par Madge Tivey-Faucon et expose dans la galerie de la rue de Penthièvre, galerie multifacettes ouverte aux nouvelles tendances de l’après-guerre. Jeanne-Michèle y rencontre Robert Yan peintre officiel de la Marine et Président du Salon   des Indépendants (exposition d'art qui se tient chaque année à Paris depuis 1884, et qui a pour vocation de réunir les œuvres de tous les artistes revendiquant une certaine indépendance dans leur art). Rencontre un peu particulière car Robert Yan est un misogyne ancré qui malgré cela fut attiré par les œuvres originales de Jeanne-Michèle et lui proposa d’entrer au Salon des Indépendants. Après cette première exposition au Grand Palais, Robert Yan la fait élire au CA de l’Association du Salon des Indépendants elle en devint la première femme Vice-Présidente, chargée de développer l’impact du salon auprès du public, Jeanne-Michèle ayant montré, en plus de ses qualités d’artiste, celle d’être une organisatrice hors pair. Sa première réalisation démontra sa détermination : elle réussit à réunir un ensemble d’œuvres de femmes intitulé « Les artistes femmes, du 14ème siècle à nos jours » ; l’exposition fit date. 1956 Première exposition de jeanne-Michèle Hugues au Salon d’Automne à Paris 1960-61 : elle adhère aux associations France- Tchécoslovaquie et France-Hongrie ce qui lui permettait de nouer des relations avec d’autres artistes pour les faire exposer en France, à une époque les pays de l’Europe de l’Est étaient peu ouverts vers l’extérieur. 1962 Découverte du Moyen-Orient, l’Ambassade de France au Liban lui ayant demandé d’exposer au Cercle des Français à Beyrouth. Elle en rapporta une multitude de croquis qui se transformeront plus tard en autant de toiles. Par la suite, et bravant le « politiquement correct» de la politique Francaise au Proche Orient, elle réussit à faire venir les artistes Egyptiens et Israéliens à deux ans d’intervalle au Salon des Indépendants. Cette initiative lui valut lettres d’injures et de menaces, mais le Ministre de la Culture de l’époque, Michel Guy, lui apporta sa caution en particulier par sa présence lors des salons. 1967 Le Ministre de la Culture André Malraux fut à l’origine de la création du « Comité de liaisons des Associations d’Art Graphique et Plastique auprès du Ministère de la Culture et de la ville de Paris» qui voulait avoir un interlocuteur vis à vis des multiples salons organisés à Paris. Ce comité était composé d’Edouard Mac’Avoy pour le Salon d’Automne , André Cheyssial pour les Artistes Francais et Robert Yan pour les Indépendants. Jeanne-Michèle Hugues fut nommée Secrétaire Générale du Comité, organisatrice avérée mais aussi conciliatrice des contraires. Elle connut en tant que Secrétaire Générale du Comité (qui devint Fédération) 11 ministres de la culture et autres hauts responsables. Sans aucune lassitude, elles expliquait avec conviction les difficultés matérielles des artistes. Mais en 1976, Robert Yan quitte le Salon des Indépendants ; pour Jeanne Michèle, l’ambiance change. C’est alors qu’elle fût approchée par Mac’Avoy (80 ans à l’époque) Président du salon d’Automne pour lui demander de venir l’aider. 1976 L’académie de Neuilly sur Seine, institution très fermée, lui offre à l’unanimité la place de Directeur laissée vacante par Saint Granier. Elle contribue à promouvoir les arts plastiques en organisant des expositions annuelles chaque exposant de l’académie parraine un jeune artiste lui permettant ainsi d’être exposé. 1977 Au Salon d’Automne, Jeanne-Michèle y devint rapidement sociétaire, membre du CA puis en fut élue Vice-Présidente en 1983 alors que parallèlement elle devint en 1980, membre du comité français de l’Association Internationale d’Arts Plastique de l’UNESCO. L’une de ses plus belles réussites sera d’avoir réussi à faire changer les choses entre les différents utilisateurs du Grand Palais, à en mutualiser les expositions, comme par exemple avec la FIAC ou le Salon du Livre, ce qui permit de rentabiliser la gestion de ce batiment et de permettre à de petites associations d’en profiter aussi. Le ministère de la culture s’en félicita. 1991 Elle accepte le poste de Président du Salon d’Automne dont elle devint la première femme à la tête d’un tel Salon. aussi, Jeanne-Michèle va marquer son passage en faisant changer les habitudes de travail du CA. Le Salon est devenu un lieu vivant les artistes se retrouvaient avec plaisir, chaque membre du CA participera aux échanges internationaux artistiques, dans la continuité de ses engagements passés dans les associations artistiques de l’Europe de l’Est dans les années 60. Elle parvint à obtenir de l’Ambassade de Chine un ensemble très remarquable d’œuvres chinoises. Une nouvelle dynamique avec de nouveaux et jeunes talents. Mais en 1993, le Grand Palais ferme pour cause de travaux pour 10 ans. Aprés d’âpres discussions le Ministère de la Culture met à disposition quatre tentes en location, Quai Branly sur un espace prêté par le Ministère des Affaires Etrangères. L’inauguration est faite en 1994, en présence du Ministre de la Culture Jacques Toubon. 1995 Jeanne Michèle Hugues démissionne de la Fédération du fait de difficultés internes causées par de nouvelles contraintes financières. Ce qui retentit aussi au sein du Salon d’Automne et, du fait du désacord dans le CA, elle finit par quitter la Présidence pour passer la main à un jeune élément qui écrirait la suite de l’histoire : ce fût Jean-François Larrieu, qu’elle avait connu à l’Académie de Neuilly. Elle fût élue Président d’Honneur du Salon d’automne, en reconnaissance de l’activité qu’elle y avait déployée. Elle se retira ensuite dans son atelier pour y retrouver la joie de peindre pour elle-même débarrassée de bien des soucis, mais toujours suivie de près par les amateurs collectionneurs. La reconnaissance vint aussi de la ville de Paris qui lui octroya la Médaille de Vermeil. L’Etat ne fût pas en reste puisque qu’elle fût élevée au grade de Chevalier puis d’officier dans l’Ordre de la légion d’Honneur et aussi Chevalier puis Officier dans l’Ordre National du mérite. Malheureusement gravement blessée au membre supérieur droit en 1997, elle dut ralentir encore son activité mais garda cependant une belle dextérité pour manier couteau et pinceau, jusqu’à son décès en 2004 .
Beyrouth
Be Beyrouth capitale du Liban
Bibliographie
Portrait de Jeanne Michèle Hugues (1920-2004) Artiste peintre Officier de le Légion d’Honneur, Officier de l’Ordre National du Mérite, Médaille de Vermeil de la ville de Paris. Président du Salon d’Automne, Grand Palais, Paris, de 1991 à 1996 puis Président d’Honneur. Membre de l'Académie de Neuilly-sur-Seine (Directeur en exercice : 1989-1993). Membre d’Honneur (ancien Secrétaire Général) de la Fédération des Associations d'Arts Plastiques et Graphiques assurant la liaison avec le Ministère de la Culture et la Ville de Paris. Ancien Vice-Président de la Société des Artistes Indépendants, chargé des relations extérieures. Ancien membre du Conseil d'Administration de la Maison des Artistes (Fondation Rothschild). Membre du Comité Français de l'Association Internationale des Arts Plastiques, Commission française, pour l'U.N.E.S.C.O. Conseiller artistique pour l'émission "Voir et Comprendre", réalisée par L.IGLESIS, TF1. Prix de la Fondation Taylor. Première exposition particulière à PARIS, en 1956, suivie de nombreuses autres à Paris, en province, à l'étranger. Expositions de groupes en France, en Europe, aux U.S.A., au Moyen-Orient, en Chine, au Japon, en Australie etc... Participation aux Salons des Peintres Témoins de leur Temps, du Dessin et de la Peinture à l'eau, Comparaisons, de la Nationale des Beaux-Arts, de la Marine, ainsi que du Salon d'Automne un hommage particulier lui a été réservé en 1983. Œuvres dans de nombreux Musées et Collections privées, Françaises et Etrangères. Achats de l'Etat, de la Ville de Paris, de plusieurs municipalités ou collectivités en France et à l'étranger Bibliographie Citée dans le BENEZIT (ed.Grund), Edition 1976, annuaire International des Beaux-Arts; Annuaire International des Galeries d'Art ; Annuaire de l'Art International ; Dictionnaire International des Peintres ; Annuaire National des Beaux-Arts ; Annuaire de la Création Européenne ; Officiel de la Peinture et de la Sculpture Contemporaine (Français, Japonais, Arabe) ; Who's Who in France ; Who's Who International Art ; Who's Who in Europe ; The World Who's Who of Women ; Dictionary of Art International Biography ; Art Information, C.N.A. ; Les Editions Arts et Images du Monde ; Prestige de la Peinture et de la Sculpture d'aujourd'hui dans le monde - Creator 1990- 91. « Femmes artistes d’hier et d’aujourd’hui » Ed. Regards. « Portaits d’artistes. Arts contemporain » ; Ed. Regards.. « Quand l’art du XXème siècle était conçu par des inconnus : l’histoire du Salon d’Automne de 1903 à nos jours », P. F. Barrer, Editions Art et Images du monde. Film « Jeanne-Michèle Hugues ou l’invisible par le visible » : Jean Desvilles, éditions La Moricière-Video Droits de reproduction en couleurs de plusieurs toiles, achetées par les Editions STEHLI Frères, à Zurich (Suisse). .
Extrait de la page 606 de l’Annuaire National des Beaux-Arts de 1986-1987 la page 607 reproduction noir et blanc en pleine page de l’oeuvre «Brume hivernale» de 1983
© les amis de Jeanne Michèle Hugues / Ref sources. Made with XARA
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L’artiste peintre
Portrait de Jeanne Michèle Hugues (1920-2004) Artiste peintre Officier de le Légion d’Honneur, Officier de l’Ordre National du Mérite, Médaille de Vermeil de la ville de Paris. Président du Salon d’Automne, Grand Palais, Paris, de 1991 à 1996 puis Président d’Honneur. Membre de l'Académie de Neuilly-sur-Seine (Directeur en exercice : 1989-1993). Membre d’Honneur (ancien Secrétaire Général) de la Fédération des Associations d'Arts Plastiques et Graphiques assurant la liaison avec le Ministère de la Culture et la Ville de Paris. Ancien Vice-Président de la Société des Artistes Indépendants, chargé des relations extérieures. Ancien membre du Conseil d'Administration de la Maison des Artistes (Fondation Rothschild). Membre du Comité Français de l'Association Internationale des Arts Plastiques, Commission française, pour l'U.N.E.S.C.O. Conseiller artistique pour l'émission "Voir et Comprendre", réalisée par L.IGLESIS, TF1. Prix de la Fondation Taylor. Première exposition particulière à PARIS, en 1956, suivie de nombreuses autres à Paris, en province, à l'étranger. Expositions de groupes en France, en Europe, aux U.S.A., au Moyen- Orient, en Chine, au Japon, en Australie etc... Participation aux Salons des Peintres Témoins de leur Temps, du Dessin et de la Peinture à l'eau, Comparaisons, de la Nationale des Beaux-Arts, de la Marine, ainsi que du Salon d'Automne un hommage particulier lui a été réservé en 1983. Œuvres dans de nombreux Musées et Collections privées, Françaises et Etrangères. Achats de l'Etat, de la Ville de Paris, de plusieurs municipalités ou collectivités en France et à l'étranger Citée dans le BENEZIT (ed.Grund), Edition 1976, annuaire International des Beaux-Arts; Annuaire International des Galeries d'Art ; Annuaire de l'Art International ; Dictionnaire International des Peintres ; Annuaire National des Beaux-Arts ; Annuaire de la Création Européenne ; Officiel de la Peinture et de la Sculpture Contemporaine (Français, Japonais, Arabe) ; Who's Who in France ; Who's Who International Art ; Who's Who in Europe ; The World Who's Who of Women ; Dictionary of Art International Biography ; Art Information, C.N.A. ; Les Editions Arts et Images du Monde ; Prestige de la Peinture et de la Sculpture d'aujourd'hui dans le monde - Creator 1990-91. « Femmes artistes d’hier et d’aujourd’hui » Ed Regards. « Portaits d’artistes. Arts contemporain » ; Ed. Regards... « Quand l’art du XXème siècle était conçu par des inconnus : l’histoire du Salon d’Automne de 1903 à nos jours », P. F. Barrer, Editions Art et Images du monde. Film « Jeanne-Michèle Hugues ou l’invisible par le visible » : Jean Desvilles, éditions La Moricière-Video Droits de reproduction en couleurs de plusieurs toiles, achetées par les Editions STEHLI Frères, à Zurich (Suisse). Extrait de la page 606 de l’Annuaire National des Beaux-Arts de 1986-1987, la page 607 reproduction noir et blanc en pleine page de l’oeuvre «Brume hivernale» de 1983 Extrait du BENEZIT 1999 .
Portrait
Galerie Photos de Jeanne-Michéle Hugues
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M Seydoux Ambassadeur de France et JMH 1962 JMH accompagne André Malraux au Salon des Independants et F Gall, G Ferro JMH et Farouk Hosny Ministrede la Cultute Egyptienne
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E Mac’Avoy et JMH
Jacques Toubon Ministre de la Culture et JMH
Jacques Chirac Maire de Paris et JMH
Michel Drucker et JMH
Credit photographique : Atelier 80, Dominique Fontana, Valerie Jacob, Pierre Jacquemin, Nicolas Pieffer, J.Pol Strercq
Pierre Vernier et Jean Rochefort et JMH
L’artiste peintre
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M Seydoux Ambassadeur de France et JMH 1962
JMH accompagne André Malraux au Salon des Independants et F Gall, G Ferro JMH et Farouk Hosny Ministrede la Cultute Egyptienne
Jacques Toubon Ministre de la Culture et JMH
E Mac’Avoy et JMH
Jacques Chirac Maire de Paris et JMH
Michel Drucker et JMH
Pierre Vernier et Jean Rochefort et JMH
Credit photographique : Atelier 80, Dominique Fontana, Valerie Jacob, Pierre Jacquemin, Nicolas Pieffer, J.Pol Strercq
Les mots de Jeanine Baron (journaliste La Croix) Jeanine Warnod (journaliste Le Figaro) Jean Rollin (l’Humanité) Yan (Président honoraire du Salon des Indépendants) Arnaud d’Hauterives (Membre de l’Institut, Conservateur en Chef du Musée Marmottan) Jean Cluseau-Lanauve (Ancien Président du salon du dessin et du dessin à l’eau) Genevieve Breerrette (Le Monde) Ratimir Pavlovic (Poète Français et critique d’art) Jean Marc Campagne (Le Collectionneur Français) André Flament (Président des peintres témoins de leur temps) Henry Gali-Carles Yves Brayer ( Menbre de l’Institut) Nicole Lamothe
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Les mots de …
Jeanine Baron (journaliste La Croix) Jeanine Warnod (journaliste Le Figaro) Jean Rollin (l’Humanité) Yan (Président honoraire du Salon des Indépendants) Arnaud d’Hauterives (Membre de l’Institut, Conservateur en Chef du Musée Marmottan) Jean Cluseau-Lanauve (Ancien Président du salon du dessin et du dessin à l’eau) Genevieve Breerrette (Le Monde) Ratimir Pavlovic (Poète Français et critique d’art) Jean Marc Campagne (Le Collectionneur Français) André Flament (Président des peintres témoins de leur temps) Henry Gali-Carles Yves Brayer ( Menbre de l’Institut) Nicole Lamothe
Urbain
Fleurs
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Dessins
Des mots de : Jeanine Baron : Journaliste La Croix Jeanine Warnod : Journaliste Le Figaro
L’artiste peintre
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L’ oeuvre
Fleurs Urbain
Des mots de : Jeanine Baron : Journaliste La Croix Jeanine Warnod : Journaliste Le Figaro
Marines
Des mots d’ : Arnaud d’Hauterives : Membre de l’Institut, Conservateur en Chef du Musée Marmottan
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Paysages
De 1955 à 1965 Suivez nous sur Instagram
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De 1955 à 1965
Paysages 1955 - 1965
Suivez nous sur Instagram Byblos (1960) - Réalisé après son invitation à exposer au Liban Huile sur toile 27x12 Vesuve (1956) Huile sur toile 24x19 Beyrouth 2 (1965) - Réalisé a son retour d’une exposition au Liban Huile sur toile 27x12
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Byblos (1960) - Réalisé après son  invitation à exposer  au Liban Huile sur toile 27x12 Vesuve (1956) Huile sur toile 24x19
Tapisserie
N Lamothe …Attentive a tout ce qui l’entoure et spécialement aux êtres, elle exécute des portraits : pour elle chaque modèle porte en lui même un monde d’où cet attrait pour cette forme d’expression. La densité de la matière, la fermeté de la ligne, la technique selon laquelle Hugues part en général d’un noyau central concentré qui peu à peu se dilue, s’éclaire jusqu’aux confins de la toile , jointes à une gamme colorée souvent lumineuse, constituent un sujet idéal pour la tapisserie. Les œuvres du peintre trouvent ainsi une nouvelle expression par le truchement de la laine de ses tapisserie d’Aubusson qui révèlent avec force l’harmonie parfaite entre une composition d’un bel équilibre et une palette nuancée jusqu’au raffinement .
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L’artiste peintre
Tapisserie
N Lamothe Attentive a tout ce qui l’entoure et spécialement aux êtres, elle exécute des portraits : pour elle chaque modéle porte en lui même un monde d’où cet attrait pour cette forme d’expresseon. La densité de la matière, la fermeté de la ligne, la technique selon laquelle Hugues part en général d’un noyau central concentré qui peu à peu se dilue, s’éclaire jusqu’aux confins de la toile , jointes à une gamme colorée souvent lumineuse, constituent un sujet idéal pour la tapisserie. Les œuvres du peintre trouvent ainsi une nouvelle expression par le truchement de la laine de ses tapisserie d’Aubusson révèlent avec force l’harmonie parfaite entre une composition d’un bel équilibre et une palette nuancée jusqu’au raffinement .
Un petit mot sur Michel Hugues, le mari, qui a compté beaucoup pour Jeanne Michèle… En 2004, à la demande de sa fille Hélène, Michel Hugues a écrit son autobiographie . Le tout démarre par une jeunesse heureuse partagé entre la France et la Belgique avec un épisode particulier «la guerre de 39-45», période épique, teintée d’héroïsme mais sans la gloire. Entré dans la Police Nationale à Toulouse, il s’est engagé dans la Resistance et intègre le réseau AJAX créé par Achille Peretti. .Son alias était Axel de Fersen. Pendant la guerre, il s’est marié avec Jeanne Michèle Prudhommaux et ont eu deux filles. Ils ont pleinement vécu leur vie, chacun dans son activité professionnelle, lui commissaire de police, elle artiste peintre. Mais la vie privée est restée privée avec des moments de bonheur et des moments de grande tristesse avec la perte de leur fille Michèle. Durant sa carrière de policier, Michel Hugues a vécu des moments passionnants, comme sa participation au démembrement de la French Connexion et aussi des croustillants lorsqu’il a côtoyé une Princesse Russe ruinée mais toujours accompagnée de ses cosaques ! Vous pourrez lire cette aventure chargée d’anecdotes mais toujours en lien avec Jeanne Michèle Hugues, complétée par un descriptif des collections qu’il a su construire comme celle de plis postaux, courriers datant du Premier Empire ou de brûlots, sorte de porte-cigarette en écume finement sculptée. Vous la trouverez sous le titre «Une vie toute simple dans une époque bien compliquée» éditée sur le site Amazon. Une précision : le texte original a été agrémenté de photos, de reproduction de documents d’époque et de notes historiques permettant ainsi au lecteur de mieux se situer dans l’époque. L’idée de ce remaniement et sa réalisation sont de sa fille Hélène.
© les amis de Jeanne Michèle Hugues / Ref sources. Made with XARA
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Un petit mot sur Michel Hugues, le mari, qui a compté beaucoup pour Jeanne Michèle… En 2004, à la demande de sa fille Hélène, Michel Hugues a écrit son autobiographie . Le tout démarre par une jeunesse heureuse partagé entre la France et la Belgique avec un épisode particulier «la guerre de 39-45», période épique, teintée d’héroïsme mais sans la gloire. Entré dans la Police Nationale à Toulouse, il s’est engagé dans la Resistance et intègre le réseau AJAX créé par Achille Peretti. Son alias était Axel de Fersen. Pendant la guerre, il s’est marié avec Jeanne Michèle Prudhommaux et ont eu deux filles. Ils ont pleinement vécu leur vie, chacun dans son activité professionnelle, lui commissaire de police, elle artiste peintre. Mais la vie privée est restée privée avec des moments de bonheur et des moments de grande tristesse avec la perte de leur fille Michèle. Durant sa carrière de policier, Michel Hugues a vécu des moments passionnants, comme sa participation au démembrement de la French Connexion et aussi des croustillants lorsqu’il a côtoyé une Princesse Russe ruinée mais toujours accompagnée de ses cosaques ! Vous pourrez lire cette aventure chargée d’anecdotes mais toujours en lien avec Jeanne Michèle Hugues, complétée par un descriptif des collections qu’il a su construire comme celle de plis postaux, courriers datant du Premier Empire ou de brûlots, sorte de porte-cigarette en écume finement sculptée. Vous la trouverez sous le titre «Une vie toute simple dans une époque bien compliquée» éditée sur le site Amazon. Une précision : le texte original a été agrémenté de photos, de reproduction de documents d’époque et de notes historiques permettant ainsi au lecteur de mieux se situer dans l’époque. L’idée de ce remaniement et sa réalisation sont de sa fille Hélène.
L’artiste peintre
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Les coupures de presse de l’année 1970 permettent de resituer Jeanne Michèle Hugues dans le monde artistique de cette époque à Paris. Ci dessous ces articles concernent une exposition à la Galerie Montparnasse 47
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Les coupures de presse de l’année 1970 permettent de resituer Jeanne Michèle Hugues dans le monde artistique de cette époque à Paris. Ci dessous ces articles concernent une exposition à la Galerie Montparnasse 47
Le Journal La Croix Le Collectionneur français RC décembre 70 n°99 Le Peintre n°412 Henri Adam Les Lettres française Henri Hérault L’Amateur d’Art B Conlan Pictures on Exhibit Divers
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Sources livre J.M. HUGUES Collections Terre des Peintres Credit photos extraites du livre J.M. HUGUES Collections Terre des Peintres Atelier 80, Dominique Fontanarosa, Valerie Jacob, Pierre Jacquemin,Nicolas Pfeiffer, J. Pol Stercq)
Vous pouvez contacter l’association Jeanne Michèle Hugues en utilisant le mail
ou adresser un courrier a Association Jeanne Michèle Hugues 2 rue du Porche 30610 Logrian-Florian
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